Dans les jours qui ont suivi la catastrophe de Tchernobyl, les autorités soviétiques ont mis en place la fameuse zone d'exclusion totale… Tous les habitants dans un rayon de 30 km ont été forcés de partir manu militari… Cette mesure extrême s'est accompagnée d'autres, de moins en moins strictes à mesure que l'on s'éloignait du danger radioactif… Dans la zone 2, dite d'évacuation obligatoire les gens ont été sommés de partir mais sans y être contraints par la force… Résultat 10 à 15% des habitants sont restés chez eux… Ces dernières années ils sont même de plus en plus nombreux à retourner dans ces endroits interdits à la faveur d'études rassurantes sur le taux de radioactivité ou par « mal du pays ».Exemple autour de Narodytchi une ville sensée être abandonnée où vivent pourtant plus de 3000 personnes, quasiment sans aide extérieure. Un reportage de Damien Wanner et Elsa Kleinschmager.
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Entre 500 000 et 600 000 personnes sont intervenues au péril de leur vie, pour éteindre l'incendie, évacuer les déchets radioactifs et construire le sarcophage après la catastrophe de Tchernobyl. L'équipe Arte Journal a retrouvé un de ces "liquidateurs".
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Bien qu'ayant vécu le pire incident nucléaire sur son sol il y a 25 ans à Tchernobyl, l'Ukraine veut construire de nouvelles centrales.
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